Beauté de l’incertitude

Au tout début du premier tome de Le Je-ne-sais-quoi et le Presque-rien, Vladimir Jankelevitch observe, interrogativement : « Comment expliquer l’ironie passablement dérisoire de ce paradoxe : que le plus important, en toutes choses, soit précisément ce qui n’existe pas ou dont l’existence, à tout le moins, est le plus douteuse, amphibolique et controversable ? » Il met ainsi le doigt sur une grande vérité, …