Antigone, l’orgueil et la liberté
Depuis toujours, Antigone m’horripile avec son orgueil et son mépris du bonheur. Mais je l’aime. Je l’aime et me dis parfois que son insupportable orgueil n’est que l’autre nom de la liberté.
Un site avec des mots, des images et des sons
Depuis toujours, Antigone m’horripile avec son orgueil et son mépris du bonheur. Mais je l’aime. Je l’aime et me dis parfois que son insupportable orgueil n’est que l’autre nom de la liberté.
Antigone, décharnée et vêtue d’une robe rouge sang, jette de la terre sur le corps de Polynice, son frère, qui percé d’une lance et laissé sur le champ de bataille, se décompose sous la lune, proie des corbeaux. Au coeur de la pièce de Jean Anouilh, le dialogue d’Antigone et Créon, qui est ici enregistré (Antigone est à gauche, Créon …