“Ce que le courage du pêcheur doit au rocher battu par la mer”
Le plus grand plaisir que procurent les champs et les bois est la secrète relation qu’ils suggèrent entre l’homme et les végétaux.
Le plus grand plaisir que procurent les champs et les bois est la secrète relation qu’ils suggèrent entre l’homme et les végétaux.
Que pouvons-nous espérer au bout de ce pèlerinage ? A peine un soupçon de Son souffle, peut-être un écho de Son pas.
L’épaisseur du monde, c’est la conscience d’une interaction difficile : tout est imbriqué dans ce jeu de billard à mille bandes où volent des effets-papillons et où les choix ne sont simples que pour ceux qui ne voient que la surface des choses.