Koyaanisqatsi

Les humains mis à part, pas d’animaux dans cette heure et demie d’images qui défilent : nous sommes devenus le seul vivant, le seul maître des choses, un démon terraformeur, constructeur et destructeur, seul être qui ait encore sa place sur cette planète tissée de réseaux.

La servitude volontaire (ou l’optimisme de La Boétie)

Il existe des tyrans, il existe des chaînes, il existe de la cruauté. Mais le plus souvent, ce que nous désignons ainsi n’est que l’émanation de nous-même, une chose que nous nourrissons en nous et que nous désignons comme autre par abus de langage

Course vers l’humanité

Tout est à faire et tout est à reprendre ; tout est entre nos mains. Mais rien ne se fera si la société elle-même ne se réforme pas, ne réécrit pas son contrat social, si l’humanité ne se réconcilie pas avec elle-même, devenant enfin elle-même au bout de sa course.

Le désir et la nécessité

Ce monde est fondé sur la nécessité ; nous sommes quant à nous des êtres de désir. La sobriété consiste à concilier les deux, non à nier l’un au profit de l’autre. Là est notre chemin.

“Telle est la prééminence des œuvres humaines”

Rabbi Mendel disait : “Pourquoi Dieu commande-t-il le sacrifice aux humains et ne l’attend-il pas des Anges ? L’holocauste des … More “Telle est la prééminence des œuvres humaines”

Terre des hommes (de Saint-Exupéry)

A la fin de Terre des hommes, Antoine de Saint-Exupéry parle du rôle de sentinelle du monde et de l’esprit qui … More Terre des hommes (de Saint-Exupéry)